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Traiter les phobies

ouvrez la porte, il est temps de changer

Pourquoi traiter les phobies ?

Savez-vous qu’une phobie n’est qu’une partie d’un automatisme de fonctionnement qui vous prive de liberté dans bien d’autres secteurs de votre vie que celui qui est en relation avec votre phobie ?

La phobie est très souvent la partie la plus visible de votre liberté réduite, et la mise en place de l’automatisme qui la crée vous limite certainement ailleurs dans votre vie. C’est pourquoi, je trouve qu’il est important de la traiter.

L’exemple le plus frappant que j’ai eu est celui-ci :


Nicole (j’ai changé le prénom) vient me voir parce qu’elle commence à avoir des cauchemars suite à une situation (A) traumatisante. Dans la vie de tous les jours elle commence à ressentir des peurs dans certains contextes. Nous traitons ceci avec TIPI. La séance entière a duré à peu près 20 minutes. Alors que nous discutions, elle se rend compte qu’elle peut s’exprimer librement sur un tout autre sujet (B) que celui pour lequel elle est venue, alors que cela faisait des années qu’elle ne pouvait en parler sans avoir une boule dans la gorge et les larmes aux yeux. C’est en me disant qu’elle allait revenir pour traiter B qu’elle se rend compte qu’elle n’a plus aucune difficulté à aborder ce sujet. Super ! L’automatisme était le même pour les deux situations A et B. Il a été désactivé en travaillant sur A. Quelques mois après, je reçois un sms de Nicole qui m’annonce qu’elle vient de se rendre compte que la phobie terrible qu’elle avait des araignées a disparu totalement. Non seulement elle peut les regarder, mais elle ne les trouve plus répugnantes, et peut en toucher certaines afin de les mettre dehors. Comme la seule et unique séance qu’elle ait jamais faite était celle que nous avions faite ensemble, elle était sûre que le changement venait de là. Donc avec une seule séance, elle a réglé les situations A, B et sa phobie des araignées, sans doute parce que les trois provenaient de la mise en place d’un seul automatisme de survie (au niveau du cerveau reptilien)

La plupart du temps, les personnes viennent lorsque la phobie est suffisamment handicapante pour être traitée. Et après la séance, certaines se rendent compte que d’autres choses changent dans leur vie. Ils se sentent plus libres d’être eux-même, parce que c’est tout l’iceberg qui disparait.

Je vois donc pour ma part les phobies comme une sorte de cadeau : le signalement que nous ne sommes pas libres d’être ce que nous sommes. Faire disparaître sa phobie, c’est faire disparaître un automatisme qui nous lie et nous empêche d’être nous-même.Ne restez pas enchaînés

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Franche Com accepte la Pive

La Pive monnaie locale franc-comtoise

Depuis bientôt un an, j’accepte comme moyen de paiement la monnaie locale franc-comtoise, la Pive.

J’en ai entendu parlé comme beaucoup, puis j’ai regardé le DVD « demain » qui montre tout ce que nous pouvons faire pour améliorer le bien-être sur notre planète. Il y avait alors une chapitre sur les monnaies locales. Et j’ai décidé de m’engager dans le mouvement. Je ne suis pas une spécialiste financière et j’avoue ne pas tout comprendre des tenants et des aboutissants, mais une monnaie locale me parait être une monnaie d’échange : un service contre autre chose, et ça, j’avoue que ça me plait bien

Si vous souhaitez en savoir plus, samedi 6 octobre a lieu la fête de la Pive square Saint-Amour, et j’y participerai. Sous une yourte avec Christine qui fera du shiatsu, et Romy, qui vous guidera vers la réalisation d’un vœu, je vous proposerai quant à moi une séance de Reiki ou de lahochi.

10 euros ou 8 pives la séance de 20 minutes
24 euros ou 21 pives les 3 séances

Inscription sur place

Comment ça va ?

Comment ça va ?

On demande souvent « comment ça va ?« , mais ne devrait-on pas dire plutôt : « Comment ça vit? »

Nous avons le choix de passer notre temps à essayer d’atteindre quelque chose (ça, on a appris et on sait faire), ou de tout simplement vivre le moment présent (ça, on a moins appris !). Nous n’allons alors nulle part ! Nous vivons, tout simplement !

Nous vivons les émotions qui nous traversent, nous vivons les pensées qui nous animent, nous vivons la conscience de notre corps… et petit à petit nous nous rendons compte que nous sommes la Vie…

Combien de fois a t’on l’impression que ce que l’on vit n’a pas de sens ? Et cela crée forcément du mal-être. Et pour aller mieux il faut passer par l’acceptation de ce qui est vécu, ce qui n’est jamais facile. L’acceptation passe par le mental d’abord (à ce stade, je comprends, mais je ne vais pas vraiment mieux !), puis  se reconnaît comme une énergie dans le corps. Alors seulement je me sens mieux. Mais le chemin, lorsqu’on est seul, est souvent très (très) long.

Lorsque l’on est dans le processus mental d’acceptation, on cherche quelque chose qui n’existe pas : le sens de la vie. En effet, vous êtes la Vie ! Vous ne pouvez donc pas trouver le sens de ce que vous êtes. On peut trouver du sens à faire quelque chose, mais pas à être. On est, c’est tout. Et si ce que je suis c’est la Vie même, et bien… je vis, pleinement, à chaque instant, c’est tout.

Alors, comment ça vit ? Moi, maintenant, ça frétille de joie avec une pointe d’anxiété quand je me demande si j’ai été assez claire dans ce texte. Un nez un peu bouché, le bruit de l’ordinateur… la vie, quoi !  😉

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Cerveau gauche ou cerveau droit ?

Actuellement il me semble que le monde occidental est en train de basculer d’un fonctionnement majeur de « cerveau gauche » à un fonctionnement plus marqué de « cerveau droit ». C’est un très gros changement et cela n’est pas confortable.

Aucun de ces fonctionnements seul n’est bon. A titre individuel, l’harmonie peut se trouver par exemple grâce au soin masculin/féminin intérieur (un autre nom de cerveau gauche/cerveau droit) en hypnose humaniste. Ce que je souhaite pour chacun, c’est l’équilibre des deux, afin que nous soyons créatifs et créateur de notre vie. 😉

Les difficultés des personnes dites "cerveau droit"

En 2013, Jared A. Nielsen & co, dans le magasine Plos one ont publié un article An Evaluation of the Left-Brain vs. Right-Brain Hypothesis with Resting State Functional Connectivity Magnetic Resonance Imaging  montrant que sur plus de 1011 personnes, on ne peut pas à proprement parler de personnes « cerveau gauche » ou de personnes « cerveau droit ». Il n’ont pas trouvé de prédominance d’un hémisphère sur l’ensemble des tests effectués. Dans ce qui suit, je vais parler de « cerveau gauche » ou « cerveau droit » au sens symbolique du terme, pas au sens biologique « d’hémisphère gauche » ou « d’hémisphère droit »

Comme le dit Béatrice Millêtre, j’ai déjà reçu lors de consultations des personnes qui se sentent « pas normale », « mises à l’écart », qui n’arrivent pas à trouver leur place dans le monde parce qu’elles ont l’impression de ne pas correspondre à ce qu’on attend d’elle. Ces personnes sont effectivement créatives, avec une perception globale des choses, très intuitives. Certaines disent avoir du mal à s’organiser, à ranger.  Pour l’instant, l’école donne encore plus de valeur à la logique, à ce qui peut être séquentiel, à la raison, donc au fonctionnement « cerveau gauche », qu’au fonctionnement « cerveau droit » (voir conférence TED  De Ken Robinson dans les vidéos de ce blog)

La PNL (Programmation Neuro Linguistique) décrit certaines façons de fonctionner : les « programmes de comportement de chacun ». Par exemple, on peut préférer être guidé par des règles, des procédures (plutôt cerveau gauche) ou alors préférer être libre d’arriver à son but comme on l’entend (plutôt cerveau droit).

Gardons notre bâton de pouvoir

Gardons notre bâton de pouvoir

Et voici le fameux bâton de pouvoir ! Prêt pour la formation de ce week-end et les suivantes… Un peu trop grand à apporter hors de ma propre salle de formation. Mais pour tous ceux et celles qui ont vu mon fameux dessin (horrible) sur paperboard, le 3D c’est mieux, non ?😉

Avoir son bâton de pouvoir est un cadeau : c’est prendre la responsabilité de ce que je vis, devenir acteur de sa vie.
 
Exemple :
Si je suis fatiguée, c’est parce que j’ai trop de travail ! 😭C’est comme ça ! je n’ai pas le choix. Je suis obligée de travailler autant.😫
 
Lorsque je pense cela, je laisse tomber mon bâton de pouvoir. Cela a pour conséquence immédiate que je me sens impuissante, énervée, peut-être en colère ! ILS me donnent trop de travail ! Donc c’est de leur faute. A qui ? je ne sais pas, mais moi je n’y suis pour rien !
Je n’ai plus mon bâton de pouvoir. Je ne peux donc rien faire pour aller mieux. Puisque c’est de leur faute, « eux » seuls peuvent changer les choses. Sans mon bâton, je perds une certaine liberté.
 
Je vais donc reprendre mon bâton :
Je suis fatiguée et je n’écoute pas ma fatigue. J’ai le nez dans le guidon, je suis dans une spirale😵, et je ne prends pas de recul. Avec mon bâton de pouvoir, je peux me demander :
  • Je suis fatiguée, et qu’est-ce qui dépend de moi dans cette situation ? (la première chose à faire est de ne pas perdre d’énergie en essayant de changer ce qui ne dépend pas de moi).
  • Ensuite que puis-je faire ? Est-ce que je peux dire non à certaines choses ? Est-ce que je peux déléguer ? Est-ce que c’est important pour moi le travail que je suis en train de faire ? Je peux me rendre compte par exemple que je suis fatiguée parce que j’ai perdu le sens de ce travail.

Accueillir ce que je ressens va me permettre de mettre le doigt sur ce qui ne va pas chez moi. En connaissant mes besoins vitaux qui ne sont pas nourris dans cette situation (manque de sens, ou de liberté d’action, de repos, etc…), je vais alors avoir une idée de ce que je dois  faire pour aller mieux.

 
Ce n’est pas toujours facile de reprendre son bâton de pouvoir. Mais c’est tellement important de reprendre la pleine responsabilité de ma vie sans me sentir enfermé(e), ligoté(e) parce que j’ai laissé tombé mon bâton de pouvoir, ou que je l’ai donné à l’autre (individu, structure, gouvernement…)
 
Parfois, c’est l’autre qui nous donne le sien :
 
 –  Je ne peux pas y arriver parce que TU ne m’as pas bien expliqué ! » (tiens, prends mon bâton de pouvoir, maman!)
 – Tu veux dire que tu aimerais que je te réexplique cela autrement ? (reprend ton bâton de pouvoir, ma fille !)
– Oui, je n’ai pas compris ce que tu m’as dit !
– C’est pas un souci, voyons comment est-ce que je pourrais t’expliquer cela autrement ?
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Septembre : le départ de nos « grands » vers d’autres horizons

femme triste devant la mer

Le départ de nos enfants...

Voilà, nos enfants grandissent et partent pour étudier, voyager, travailler… et la maison se fait soudainement plus grande, avec moins de vie, moins de cris. Et pour certains, un malaise monte: on se sent seul(e), désemparé(e). angoissé(e)

 

Cette rupture n’est pas forcément facile à vivre. Dans certains cas, cela peut « réveiller » une blessure très profonde et devenir difficilement supportable :

« c’est comme si je m’étais arrêtée de vivre »
« Je ne peux pas m’empêcher d’envoyer des sms plusieurs fois par jour et s’il ne répond pas j’angoisse terriblement »
« Il n’y a que pendant les vacances, lorsqu’elle revient que je retrouve ma joie de vivre »

Si vous êtes dans ce cas et que cela perdure, n’hésitez pas à demander de l’aide, parce que si votre enfant vit sa vie, vous avez vous aussi à vivre la vôtre. L’Hypnose Humaniste ou d’autres méthodes peuvent vous aider.

Toutes mes pensées à ces grands, et à leurs parents qui vivent une nouvelle étape de leur vie. Qu’elle soit source de joie et de nouvelle découverte.

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Le deuil : retrouver un apaisement

Un deuil est toujours difficile. Mais pour certains, il semble insurmontable, et ce même après de nombreuses années.

La technique du deuil en hypnothérapie humaniste permet de couper le cordon de souffrance lorsque celle-ci continue à être présente après des années
Deuil, divorce ou séparation non digérée, perte d’un animal, difficulté à laisser partir les enfants loin de la maison, retraite… Il est possible de couper le cordon de souffrance afin de pouvoir repenser à la personne, à la situation de façon sereine, apaisée.

Qu’est-ce qu’ un coach ?

Un coach est une personne qui guide un client afin que celui-ci trouve les ressources dont il a besoin pour répondre à son problème.

La notion de « client » vient de Carl Rogers, dans son Approche Centrée sur la Personne. Il préférait ce terme plutôt que celui de «patient», pour indiquer que la personne coachée n’est pas passive, et qu’elle va agir pour trouver ses ressources.

Le coach accompagne la personne et la guide vers ses propres ressources internes, afin qu’elle-même puisse trouver la solution. Le mot «coach» vient d’ailleurs à l’origine du français «coche» qui était la voiture que conduisait le cocher! C’est la calèche, le carrosse ; en anglais un coach est aussi un grand bus qui transporte des passagers pendant la journée (on peut d’ailleurs coacher une personne, ou un groupe – une équipe en entreprise par exemple).

On retrouve cette notion quand on sait que le coach conduit son client d’un état présent (à priori non satisfaisant) vers un état désiré, le problème étant défini comme la différence entre ces deux états. Comme le cocher guide la voiture, le coach guide «le processus».

Imaginez-vous assis dans une voiture tirée par des chevaux… Vous indiquez au cocher la destination que vous souhaitez. Il se peut même que, parfois, vous ne sachiez pas bien où vous voulez aller. Vous n’avez pas l’adresse exacte, ni vraiment à quel endroit précis vous voulez descendre (qui n’a jamais dit «laissez-moi là !», à quelqu’un qui nous conduit quelque part?)… et vous indiquez une direction.

Le cocher peut d’abord vérifier s’il a bien compris la destination que vous avez donnée. Et si c’est vraiment bien là que vous souhaitez aller. Une fois qu’il est certain de la destination, il va conduire la voiture, et essayer si possible d’éviter les ornières et autres nids de poule qui vous secoueraient trop ! Il peut éventuellement choisir le chemin qui, selon lui, vous fera parvenir le mieux possible à destination. Le trajet peut se faire en une seule étape, ou en plusieurs. Par exemple en plusieurs jours. Dans ce cas, le cocher ne va pas vous arrêter dans un champ désert ! Non, il vous conduit jusqu’à une ville ou un village, où vous pouvez vous restaurez et dormir. Il vous accompagne mais c’est vous qui agissez : il ne vous donne pas à manger, ne vous couche pas non plus, ni ne paye votre séjour à l’hôtel. Lui ne s’occupe que de la route. Si vous voulez sauter une étape, c’est vous qui décidez. Si en chemin vous lui dites de prendre une autre route, il vous obéit… toujours en s’assurant qu’il a bien compris, et que c’est bien ce que vous voulez : il peut en effet poser des questions ! Il n’est pas là pour vous écouter seulement. Il agit lui aussi en vous conduisant.

En résumé la relation coach-client est un vrai tandem : vous décidez, vous faites ce que vous avez à faire aux étapes, et il s’occupe de la route. Il ne va pas vous imposer une destination. Ce n’est pas son rôle ! Il ne va pas vous dire qu’à votre place, il en aurait choisi une autre… Non ! Il ne va pas vous demander pourquoi vous êtes monté(e) dans ce carrosse, et il ne va pas faire à votre place ce que vous avez à faire…

Le coach de la même façon va conduire le processus. Il choisit le chemin qui vous permettra d’arriver à l’état désiré. Il va s’assurer que c’est vraiment là où vous désirez aller, puis va vous conduire, d’étapes à étapes, vers votre direction finale.

Personnellement, je suis toujours émerveillée de voir comment les personnes trouvent leurs ressources. C’est toujours un très beau cadeau de la vie…

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